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jeudi 1 octobre 2020

Businessman on a horse (Homme d'affaires sur un cheval)

Toronto, Ontario, Canada.
Windsor, Ontario, Canada.


Les statues classiques représentent souvent des héros sur des chevaux : rois, empereurs, généraux… On imagine bien les héros des guerres revenir dans leur pays sur un cheval, acclamés pas la foule. Pour l'auteur de cette œuvre de la fin du 20e siècle, les nouveaux héros sont les hommes d'affaires. Il est donc assez logique de les représenter paradant sur un cheval, même si le cheval a sans doute fait place à la voiture de luxe, moins prisée par les sculpteurs.


À Toronto

samedi 29 décembre 2018

Peter Pan

Cité de Westminster (City of Westminster), Grand Londres, Royaume-Uni.
Bruxelles, Région de Bruxelles-Capitale, Belgique.
Saint-Jean de Terre-Neuve (St. John's), Terre-Neuve, Canada.
Liverpool, Angleterre du Nord-Ouest, Royaume-Uni.
Perth, Australie-Occidentale, Australie.
Toronto, Ontario, Canada.
Camden, New Jersey, États-Unis.


Les fêtes de fin d'année sont souvent l'occasion pour les chaînes de télévision de rediffuser des films pour enfants. Les petits les découvrent, les grands se replongent avec nostalgie dans les dessins animés qui ont bercé leur enfance. Comment expliquer l'attachement des adultes pour des films destinés aux enfants ? Peut-être que chacun de nous soufre, à un degré variable, du syndrome de Peter Pan. Ce refus de grandir caractérise le personnage créé en 1902 par l'auteur britannique J.M. Barrie (1860-1937). Cet enfant a donc plus d'un siècle et ses aventures continuent à émerveiller les enfants mais aussi les adultes. Après sa première apparition dans Le petit oiseau blanc, il devint le personnage central de la pièce de théâtre Peter and Wendy, en 1904, avant de devenir le héros d'un roman en 1911, Peter Pan, ou le garçon qui ne voulait pas grandir. C'est, à peine, un an plus tard que fut érigée cette statue, à la demande de J.M. Barrie, dans les jardins de Kensington, à Londres. Elle fut placée dans la nuit pour faire croire qu'elle était l'œuvre des fées. Dans les années 1920, plusieurs copies furent installées aux quatre coins du monde : à Bruxelles (Belgique) en 1924, à Saint-Jean de Terre-Neuve (Canada) en 1925, à Liverpool (Royaume-Uni) en 1928 et à Perth (Australie), Toronto (Canada) et Camden (États-Unis) en 1929. Notons que le Pays imaginaire, lui, fut injustement oublié…
 
À Londres

mercredi 20 juin 2018

Immigrant family (Famille d'immigrants)

Toronto, Ontario, Canada.

Combien d'entre nous quitteraient leur pays si celui-ci était en guerre, en situation d'extrême pauvreté ou dirigé par un dictateur ? Combien d'entre nous essayeraient coûte que coûte de sauver leur vie, celle de leurs enfants ou de tout être cher ? Probablement, la grande majorité d'entre nous. Tous, nous aimerions alors trouver un pays accueillant qui nous aiderait. Depuis quelques années pourtant, de nombreux pays riches agissent à l'encontre de leurs propres valeurs d'humanité en essayant à tout prix de dissuader celles et ceux qui fuient la guerre, la famine ou une dictature de venir simplement essayer de survivre. Pire, ces gouvernements sont élus, plébiscités, applaudis par une partie de la population. Pourquoi ? Par peur ? Par égoïsme ? Par racisme ? Sans doute un peu de tout à la fois. Et pourtant s'ils devaient être dans la même situation, ne feraient-ils pas la même chose ? Ce 20 juin, c'est la Journée mondiale des réfugiés. Combien de ministres s'engageront à cette occasion à venir en aide à plus de réfugiés ? À Toronto, une œuvre de Tom Otterness rend hommage à ces familles qui ont tout quitté pour tenter une vie meilleure…

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